Les gros nounours ont un côté attendrissant et très minions. On n’a donc aucun mal à les associer à un bébé. D’ailleurs, on imagine très bien un gros nounours dans la chambre de bébé. Mais pourtant, c’est déconseillé. Voici pourquoi.
Cela prend de la place
Déjà dans un petit appartement, on ne peut se permettre d’occuper de la place inutilement avec un gros nounours. Et d’ailleurs, même si vous lui trouvez un côté convivial et rassurant, ce n’est pas de cet œil que certains enfants le perçoivent. Après tout, qui n’aurait pas peur d’une chose plus grande que soi ? Installer un accessoire de ce type dans la chambre de bébé pourrait entrainer des crises de larmes incessantes.
Si vous manquez de superficie habitable, il est préférable de mettre la priorité sur le bien-être et le confort des enfants. D’autant que les articles de grande taille peuvent cacher la vue et empêcher le soleil de pénétrer dans les chambres.
Les acariens
Les gros nounours ont aussi cette capacité étonnante et frustrante de tout retenir, y compris les poussières. Leur douce crinière en est la raison. Et si en tant qu’adulte vous avez les défenses immunitaires pour supporter une telle chose, ce n’est certainement pas le cas de bébé. Des recherches ont prouvé que les nounours étaient la cause de la plupart des cas d’allergie et d’acariens chez les bébés. Ce qui pourrait conduire à des problèmes de santé plus grave au fur et à mesure que l’exposition perdure.
Si vous tenez absolument à avoir un gros nounours chez vous, on vous conseille d’attendre que bébé développe les anticorps nécessaires pour supporter les acariens. Et en plus de cela, vous devez le laver très souvent pour éviter des problèmes.
Un attachement excessif
Et combien même les problèmes précités ne se présentent pas dans votre cas, il reste le cas de l’attachement excessif. Les enfants encore une maturité émotionnelle très faible. Lui exposer à un jouet qui risque de disparaitre, de se détruire ou autre tôt ou tard pourrait affecter leur estime d’eux-mêmes. L’attachement excessif est comme une véritable addiction. Et chez les enfants, elle est plus difficile à soigner.