Les experts, ainsi que les associations qui défendent la francophonie, sont inquiets de la situation actuelle. Ils tirent la sonnette d’alarme. Et pour cause, les jeunes français ont de plus en plus de mal avec la langue de Molière. Retour sur les raisons de cette tendance et les solutions proposées.
Les influences du monde moderne
Le monde moderne et notamment les nouvelles technologies sont les premiers à être pointé du doigt. Des messages à raccourcir, des langages différents, et bien d’autres encore : tout est fait pour que l’on oublie nos Français traditionnels. Les simples cours en classe ne suffisent plus. Et d’ailleurs, les professeurs ont du mal à gérer chaque élève comme auparavant.
L’absence d’une maitrise du Français peut pourtant être problématique. Cela peut vous empêcher de trouver du travail, voire de garder un poste. Récemment, une femme s’est fait licencier pour faute d’orthographe dans l’exercice de ses fonctions.
Combien même l’anglais et les autres langues du monde ont le vent en poupe, maitriser le Français est une base pour un avenir meilleur.
Les solutions
Quelles sont donc les solutions ? On ne peut interdire nos jeunes de ne plus aller sur les réseaux sociaux. Cela pourrait causer quelques tensions. Et comme susmentionné, le niveau scolaire des établissements français n’est plus ce qu’il était.
Une association a peut-être trouvé la parade : le retour des dictées, et ce, même pour les jeunes et les adultes. 
Dictée pour tous, dictée géante, Euro dicté et bien d’autres encore : les évènements de ce genre commencent à avoir le vent en poupe depuis quelques années maintenant. Le but est de rendre l’exercice plus convivial et plus ludique et de permettre aux jeunes d’apprendre les bases de l’orthographe et de la grammaire au passage. Pour information, les animations de dictée peuvent se passer sur des places publiques comme dans des établissements scolaires, selon le cas.
La dictée a fait ses preuves auparavant dans l’apprentissage du Français. Malheureusement, elle est aujourd’hui reléguée au second plan dans les manuels d’apprentissage. Et pourtant, elle pourrait être la solution à ce problème.